PROBLEMATIQUE DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROTECTION DES VICTIMES DES VIOLENCES BASEES SUR LE GENRE AU REGARD DE LA LOI N°1/ 13 DU 22 SEPTEMBRE 2016 PORTANT PREVENTION,PROTECTION DES VICTIMES ET REPRESSION DES VIOLENCES BASEES SUR LE GENRE

dc.contributor.authorGahama, Aline
dc.date.accessioned2024-01-16T09:33:25Z
dc.date.available2024-01-16T09:33:25Z
dc.date.issued2020-05
dc.descriptionMémoire présenté en vue de l’obtention du Diplôme de mastère complémentaire en droits de l’homme et résolution pacifique des conflits
dc.description.abstractLa protection des victimes des violences basées sur le genre constitue une préoccupation quotidienne des acteurs qui ont l’obligation de protéger les citoyens contre les violations des droits de la personne humaine, les VBG en constituant une. Cela se remarque à travers différentes conventions internationales, régionales et les textes juridiques nationaux protecteurs des victimes des VBG qui sont disponibles dans l’arsenal juridique burundais. Néanmoins, les VBG sont le lot quotidien des femmes et filles burundaises sans oublier une petite portion des hommes.Pour lutter efficacement contre les VBG, il y a eu promulgation en septembre 2016 d’une loi spécifique sur les violences basées sur le genre. Ladite loi prévoit la protection des victimes par le biais de la détection précoce des VBG, la création des structures d’accueil, la répression des infractions qualifiées VBG, les mutations des travailleurs survivants, la protection des écoliers, élèves et étudiants victimes et l’indemnisation du préjudice subi.A cet égard, le Centre HUMURA de Gitega et trois autres centres intégrés ont été initiés à Cibitoke, Makamba et Muyinga dans le cadre du Projet d’Urgence de lutte contre les VSBG de la Banque Mondiale.Ces centres apportent une assistance aux victimes des violences sexuelles et sexistes à travers un appui psychologique, médical et social. L’apport des associations privées est aussi indéniable en matière de prise en charge des survivants. Cependant, force est de constater que ces centres demeurent insuffisants quant à leur capacité d’accueil et leur effectif. Une grande étendue géographique demeure non servie en matière de prise en charge holistique. A cela s’ajoute une indemnisation quasi rare voire inexistante vue la pauvreté des auteurs et le fonds d’indemnisation qui figure dans les textes seulement avec comme conséquence une protection lacunaire des femmes et des hommes victimes des VSBG.
dc.identifier.urihttps://repository.ub.edu.bi/handle/123456789/66
dc.publisherUB
dc.titlePROBLEMATIQUE DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROTECTION DES VICTIMES DES VIOLENCES BASEES SUR LE GENRE AU REGARD DE LA LOI N°1/ 13 DU 22 SEPTEMBRE 2016 PORTANT PREVENTION,PROTECTION DES VICTIMES ET REPRESSION DES VIOLENCES BASEES SUR LE GENRE
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