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Browsing by Author "Sous la direction de : Pr. Gilbert Niyongabo"

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    Analyse des déterminants de la pauvreté et des inégalités des ménages au Burundi
    (UB, FSEA, 2025-08) Mugabekazi, Sancta Maria; Sous la direction de : Pr. Gilbert Niyongabo
    In Burundi, the fight against poverty is at the heart of the authorities' concerns and deserves everyone's particular attention. Using data from various priority surveys (Integrated Survey on Living Conditions of Households in Burundi) carried out throughout the country, this study aims to provide an in-depth analysis of the determinants of poverty and household inequality in Burundi. The main objective of this study is to identify the factors that determine the poverty of Burundian households. To achieve this, two types of analysis were carried out: Firstly, a descriptive analysis was used to characterize households according to their poverty status and to identify all the factors likely to explain poverty within households. Secondly, an econometric analysis was used using STATA 17 software to determine the factors deemed to determine household poverty and to assess the real impact of these determinants on household poverty levels. At the end of the various analyses, the results showed that poor households would be those with the following characteristics: households living in rural areas, large households, and households not receiving transfers, households with elderly heads, households with uneducated heads, and households with male heads. The results also show that, at national level, poverty stands at 43.7%, with differences according to the area of residence and the gender of the head of household. Furthermore, the characterization of households according to their degree of poverty shows differentiated profiles. In terms of econometric analysis, the results show that household size, household access to education, geographic location of the household, socio-economic group of the head of household, age of the head of household, and level of education of the head of household were consistently found throughout the study to be the main factors determining poverty and favoring the chances of the household being poor or not. These results implies that poverty reduction strategies can’t be based on a single instrument, nor can they focus on a single area, but must use a range of measures affecting its different dimensions
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    Analyse des effets de la pauvreté des ménages sur la fréquentation scolaire des enfants au Burundi
    (UB, FSEA, 2025-07) Akimana, Farès; Sous la direction de : Pr. Gilbert Niyongabo
    Our research study focuses on: “Analysis of the effects of household poverty on children’s school attendance in Burundi”. The main objective of our study is to analyze the effects of household poverty on children's school attendance in Burundi. The target population for this study is children aged 6 to 17. The data used comes from the Integrated Survey on Living Conditions in Burundi (EICVMB 2019/2020). We will conduct a descriptive analysis and an explanatory analysis. The results obtained generally confirm the hypotheses formulated. Household poverty has a negative influence on school attendance among children aged 6-17 in Burundi. Middle-class and wealthy households send their children to school more than poor households. In addition, the results reveal that sociodemographic factors such as the age of the child and the size of the household have a negative influence on school attendance among children aged 6-17 in Burundi. In fact, as the age of the child increases, the probability of attending school decreases, and school attendance is higher in small households than in large ones. Finally, the results show that sociocultural factors such as the place of residence have a positive influence on school attendance among children aged 6-17 in Burundi. School attendance among children living in urban areas is significantly higher than among children living in rural areas
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    Analyse des effets de l’inclusion financière sur le bien-être des menages au Burundi
    (UB, FSEA, 2025) Ndayiragije, Juliette.; Sous la direction de : Pr. Gilbert Niyongabo
    Le principal objectif de cette étude était d'analyser les effets de l’inclusion financière sur le bien-être des ménages au Burundi. Au total, 1011 ménages ont été sélectionnés en fonction de la disponibilité des données sur la variable revenu parmi les 8490 ménages recensés dans l'EICVMB 2019/2020. Le modèle de régression des moindres carrés ordinaires et la Régression Quantiles ont été appliqués pour identifier les effets de l’inclusion financière sur le bien-être des ménages.Pour évaluer le bien-être des ménages, nous avons utilisé une méthode d'analyse basée sur les travaux de (Koomson et al., 2020) . Les résultats montrent une corrélation positive entre la possession d’un compte bancaire formel et le revenu des ménages. Avoir un compte bancaire augmente en moyenne de 57,05 % le revenu des ménages, traduisant une contribution positive de l'inclusion financière au bienêtre des ménages. Le crédit et l’épargne, quant à eux, améliorent également le bien-être, mais de manière non significative. Cependant, cette relation varie selon plusieurs dimensions d'hétérogénéité tels que les ménages dirigés par des hommes bénéficient davantage de l’inclusion financière que ceux dirigés par des femmes cela cause une diminution du bien-être chez les ménages dirigés par les femmes, ce qui suggère des inégalités selon le genre. De même, les ménages en milieu rural profitent moins de l’inclusion financière par rapport aux résidents urbains, en raison des contraintes structurelles telles que l'accès limité aux institutions financières ou aux infrastructures économiques ce qui diminue leur bien-être. Par ailleurs, les groupes d'âge montrent des différences tels que les jeunes de 15-24 ans sont plus vulnérables et tirent moins parti de l’inclusion financière par rapport aux personnes âgées de 65 ans et plus, qui peuvent avoir des revenus plus stables ou des actifs accumulés. De manière similaire, La taille du ménage influence positivement le bien-être, une augmentation de la taille du ménage améliore le revenu global, favorisant ainsi une meilleure utilisation des services financiers. Les contributions de plusieurs membres renforcent la capacité à tirer parti de l’inclusion financière pour améliorer le bien-être. Enfin, les ménages riches et instruits bénéficient davantage de l’accès aux produits financiers, renforçant leur bien-être. En guise de recommandations, les gouvernements favorisent l’innovation financière en simplifiant les procédures d’accès aux comptes bancaires. Par ailleurs, pour remédier à la relation non significative entre l’épargne, le crédit et le bien-être, il est important de faciliter l'accès à ces services, notamment pour les petites entreprises et les agriculteurs, en adaptant les critères d’éligibilité et en proposant des taux d’intérêt attractifs. Enfin, la troisième et dernière recommandation est que les disparités relevées dans les résultats entre les femmes, les jeunes et les populations rurales appellent à la mise en place de programmes ciblés et à un renforcement de l'éducation financière. Ces mesures viseraient à garantir une inclusion financière durable et équitable, en maximisant ses impacts positifs sur le bien-être des ménages, en particulier dans les zones les plus vulnérables.
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    Analyse des effets de l’inclusion financière sur le bien-être des menages au Burundi
    (UB, FSEA, 2025) Ndayiragije, Juliette; Sous la direction de : Pr. Gilbert Niyongabo
    Le principal objectif de cette étude était d'analyser les effets de l’inclusion financière sur le bien-être des ménages au Burundi. Au total, 1011 ménages ont été sélectionnés en fonction de la disponibilité des données sur la variable revenu parmi les 8490 ménages recensés dans l'EICVMB 2019/2020. Le modèle de régression des moindres carrés ordinaires et la Régression Quantiles ont été appliqués pour identifier les effets de l’inclusion financière sur le bien-être des ménages.Pour évaluer le bien-être des ménages, nous avons utilisé une méthode d'analyse basée sur les travaux de (Koomson et al., 2020) . Les résultats montrent une corrélation positive entre la possession d’un compte bancaire formel et le revenu des ménages.Avoir un compte bancaire augmente en moyenne de 57,05 % le revenu des ménages, traduisant une contribution positive de l'inclusion financière au bienêtre des ménages. Le crédit et l’épargne, quant à eux, améliorent également le bien-être, mais de manière non significative.Cependant, cette relation varie selon plusieurs dimensions d'hétérogénéité tels que les ménages dirigés par des hommes bénéficient davantage de l’inclusion financière que ceux dirigés par des femmes cela cause une diminution du bien-être chez les ménages dirigés par les femmes, ce qui suggère des inégalités selon le genre. De même, les ménages en milieu rural profitent moins de l’inclusion financière par rapport aux résidents urbains, en raison des contraintes structurelles telles que l'accès limité aux institutions financières ou aux infrastructures économiques ce qui diminue leur bien-être. Par ailleurs, les groupes d'âge montrent des différences tels que les jeunes de 15-24 ans sont plus vulnérables et tirent moins parti de l’inclusion financière par rapport aux personnes âgées de 65 ans et plus, qui peuvent avoir des revenus plus stables ou des actifs accumulés. De manière similaire, La taille du ménage influence positivement le bien-être, une augmentation de la taille du ménage améliore le revenu global, favorisant ainsi une meilleure utilisation des services financiers. Les contributions de plusieurs membres renforcent la capacité à tirer parti de l’inclusion financière pour améliorer le bien-être.Enfin,les ménages riches et instruits bénéficient davantage de l’accès aux produits financiers, renforçant leur bien-être.En guise de recommandations, les gouvernements favorisent l’innovation financière en simplifiant les procédures d’accès aux comptes bancaires. Par ailleurs, pour remédier à la relation non significative entre l’épargne, le crédit et le bien-être, il est important de faciliter l'accès à ces services, notamment pour les petites entreprises et les agriculteurs, en adaptant les critères d’éligibilité et en proposant des taux d’intérêt attractifs. Enfin, la troisième et dernière recommandation est que les disparités relevées dans les résultats entre les femmes, les jeunes et les populations rurales appellent à la mise en place de programmes ciblés et à un renforcement de l'éducation financière. Ces mesures viseraient à garantir une inclusion financière durable et équitable, en maximisant ses impacts positifs sur le bien-être des ménages, en particulier dans les zones les plus vulnérables.

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