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Browsing by Author "Nzeyimana, Laurent"

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    Problématique de la gouvernance dans le secteur du transport en commun au Burundi : cas de la mairie de Bujumbura
    (UB, 2023-09) Nzeyimana, Laurent
    Le concept « gouvernance » est traduit de l’anglais « governance ». Issu du monde de l’entreprise, il est apparu pour la première fois chez les économistes américains pour désigner la « gouvernance d’entreprises », ou « corporate governance » en anglais. Il s’agit de l’ensemble des processus, des réglementations, des lois et institutions destinées à cadrer la manière dont l’entreprise est dirigée, administrée et contrôlée. Au cours des années 80, la notion de « gouvernance » fait son apparition dans un autre champ, celui des relations internationales. Elle est employée par les institutions financières (FMI, BM) pour définir les critères d’une bonne administration publique dans les pays soumis à des programmes d’ajustement structurel. Les organismes de prêt internationaux préconisent la gouvernance, par le biais de leurs aides à la démocratisation des institutions africaines, à la transparence dans la gestion de la chose publique ainsi qu’à la lutte contre la corruption. C’est par exemple dans cette perspective que le Burundi s’engage dans un processus de réformes profondes d’institutions, inspirées par une nouvelle constitution issue d’Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation, et qu’il fait de la gouvernance un des principes sacro-saints. Faisons remarquer que des notions telles que la redevabilité, la transparence, la lutte implacable contre la corruption, etc., sont inhérentes audit concept de « gouvernance ». Et comme s’en réclament toutes les institutions de la République, nous avons cherché à analyser son application en Mairie de Bujumbura. En prenant le seul secteur du « transport en commun des personnes », un service fort important dans mobilité quotidienne de la population, nous nous sommes rendu compte que les populations ignorent que les dirigeants sont redevables envers elles d’une part, et les autorités profitent de cette ignorance et font l’impasse sur le paradigme de gouvernance et sur les principes sous-jacents d’autre part. Cela explique les nombreuses difficultés du secteur « transport en commun des personnes » : bien qu’il génère des ressources considérables pour le trésor public, il est touché par la corruption car des agents chargés de délivrer les contrôles techniques et des policiers chargés de la circulation routière n’exercent pas convenablement leur rôle. Il en découle un fonctionnement chaotique (corruption, vétusté des bus de transport, manque de discipline minimal des conducteurs et des « convoyeurs », etc.) dont soufrent les passagers ordinaires.

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