AKINTORE Adélard2024-03-072024-03-072014-06AKINTORE Adélard, Le passage de l'agriculture de subsistances é l'agriculture de marché par les agro-éleveurs burundais : logiques, moyens, principales contraintes et perspectives, pp. 387-410, Cahiers du CURDES n° 14, Juin 2014.https://repository.ub.edu.bi/handle/123456789/624Université du Burundi, FSEA-CURDES, B.P 1049, Bujumbura- BurundiMalgré la prédominance du secteur agricole burundais, il enregistre des performances qui sont de loin inférieures à la croissance démographique (taux global estimé à 2,6 % contre un taux de croissance démographique de 2,9 %). Malgré ces faiblesses, le Plan National d'Investissement Agricole confie à l'agriculture une mission fondamentale qui est celle d'assurer à tous les Burundais la sécurité alimentaire en quantité et en qualité en passant d'une agriculture de subsistance à une agriculture familiale et commerciale. Pour y arriver le manque du financement du secteur agricole (qui est l'une des contraintes majeures) doit être contourné. Ce secteur (agricole) distingue des chaines de valeurs dites industrielles de celles dites alimentaires. Des acteurs étatiques et privés se positionnent au niveau des maillots de ces chaines. Ils doivent conjuguer leurs efforts pour relever le défi. D'une manière plus simplifiée et autour des IMF locales, des liens forts doivent exister d'une part entre les üNGs qui encadrent les activités agricoles et les Groupements d'Intérêt Economiques (GIE) et d'autre part entre les Gouvernement et ses PTF. La politique de subvention des engrais chimique mise en œuvre depuis la saison culturale A 2014 doit s'inscrire sur une période assez courte pour que les agriculteurs se connectent rapidement au marché et aux IMF locales.frLe passage de l'agriculture de subsistances é l'agriculture de marché par les agro-éleveurs burundais : logiques, moyens, principales contraintes et perspectives, pp. 387-410,Article