Niyomukiza, ChristopheSous l’encadrement de : Pr Clément Bigirimana2025-04-162025-04-162024https://repository.ub.edu.bi/handle/123456789/1872Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l’obtention du Diplôme de Master en Didactique du Français Langue EtrangèreAu Burundi, le français est enseignée dès l’école primaire jusqu’à l’université. Pourtant, peu d’apprenants burundais du 4e cycle Fondamental peuvent s’exprimer aisément en Français. Cette langue qui, à côté du Kirundi, langue maternelle, se retrouve aujourd’hui en concurrence sur le même air géographique avec le Kiswahili et l’anglais. Cette situation bi-plurilingue à la quelle fait face un apprenant burundais et qui constitue un impact sur ses compétence orales se met encore en doute par un environnement social burundais quasi absent de la langue française. L’objectif de ce travail est de montrer l’apport de l’environnement social sur l’amélioration de la compétence orale de l’apprenant burundais afin d’en prendre en compte pendant l’acquisition de l’oral. Les résultats de l’enquête auprès des enseignants et apprenants des classes de 9e année Fondamentale de la DCE Mukaza montrent que la majorité des parents des élèves ne contribuent pas à l’amélioration de l’oral de leurs enfants. De plus, ces résultats prouvent que la langue française demeure découpée de la communication quotidienne de beaucoup des Burundais, donc du milieu familial de l’apprenant.Environnement social, apprentissage de l’oral, milieu familial de l’apprenantApport de l’environnement social sur l’enseignement/apprentissage du FLE : cas de l’expression orale. Enquête menée dans les classes de 9e année des écoles de la DCE Mukaza