Minani, FélicitéSous la Direction de : Pr Paul Nkunzimana2025-02-052025-02-052016https://repository.ub.edu.bi/handle/123456789/1421Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du .Grade de Licencié en Sciences de l'EducationDans le monde, notamment dans les pays sous-développés et plus patiiculièrement en Afrique, nous entendons des cris d'alarmes face à la forte croissance de la population. Les institutions financières internationales insistent fortement sur la nécessité d'une baisse de la fécondité et exercent des pressions sur les gouvernements pour les inciter à adopter des programmes de limitation des naissances. C'est ainsi que le gouvernement du Burundi a mis en place un organe chargé de la planification familiale dans le but de réduire cette fOlie natalité. Concernant les résultats de l'étude, la recherche a montré que des enseignants du secondaire enquêtés se prononcent favorablement pour la pratique de régulation des naissances et déclarent observer cette dernière. Les raisons évoquées se rapportent notamment à la vie devenue chère aujourd'hui, au chômage et aux difficultés de prise en charge effective de leurs enfants (scolarisation, soin de santé, etc.). Ainsi les pouvoirs publics, pensent-ils, devraient mettre en oeuvre des politiques tendant à combattre la misère et le chômage qui affectent durement les populations.Les enseignants de secondaire et la pratique de la régulation des naissances : enquête menée auprès des enseignants du secondaire de quelques écoles de la Mairie de Bujumbura et de la province de Bubanza